le ciel se réveille
vermillon
semblant à ce rouge
qui teinte tes joues
les soirs d'orage
et la pluie tombe,
chante,
pleure,
de ce ciel triste
indomptable
et tu rames
tes doutes, tes espoirs tu les conjugues
à la difficulté
de cet esquif
bateau qui vogue
et que tu conduis
l’entraînement sera rude
une fois encore
mais tu vaincras
car seule l’espérance t’anime