Laisser le vent m'emporter
Vers cet au-delà où tu vis
Me diluer dans les airs
Et m'approcher; tu souris.
Vent moi-même, t'emporter
T'enlacer, toi ma princesse
Dans ton quotidien de tristesse
Tempête des sens déclencher
M'insinuer entre soie et peau
Sentir ton parfum délicat
Fontaine, boire de ton eau
Et ensuite acalmie
Tendresse, moment divin
Poème à ma douce amie
Tristesse vue de Caen.
mardi 18 novembre 2008
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