Il est de ces nuits, quand dimanche s’éteint
Et que je cherche parmi les étoiles déchues
Le pâle reflet d’un miroir d’airain
La douceur de tes seins, de tes cuisses nues
Dans le creux de mes mains
Je recueille mille lettres
Que attachées par couleurs sembleront être mots
Dans la voie de mes rêves, dans le cœur des poètes
Car ils rêvent d’amour, de beauté, de tendresse
Dans un monde cruel, préférant la douleur
Choisissant la rancune comme unique maitresse
Peu m’importe, ma mie, si je suis désuet
Si mes mots sont risibles et personne ne m’aime
Dessinant une lettre, songe vous déflorer
vendredi 9 octobre 2009
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1 commentaire:
Belo poema; sensibilidade, erotismo subtil e irreverência serena. O "eu" está bem consigo próprio, desdramatizando os conflitos com o mundo.
Tudo de bom. Viste-me.
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