Je n’avais que mes rêves à t’offrir en promesse
Et le blanc de mes yeux pour prouver ma vaillance
Je n’avais plus d’argent, plus de cheveux, avec la vieillesse
Chauve et indigent, mais plein de tendresse
Le cœur plein d’espérance, je venais jusqu’à vous
Plus nu qu’un ver luisant, j’offrais mon âme en prime
Ma main pour vous conduire et en guise de fleurs
Je n’avais que mon sourire, franc aimable sublime.
Allant par les chemins, je quémandais l’amour
Offrant mon épaule et un meilleur futur.
lundi 30 mars 2009
lundi 23 mars 2009
Homme
Attaché au mât d'un navire
Yeux bandés pour ne pas entendre le chant
Au bras d'une sirène ne pas perdre
Ni foi, ni temps et encore moins brio
Attaché au mât d'un navire
Tel le Grec de la grecque mythologie
Le navire de la vie, oublié
Sans amour jusqu'à l'été froid
Est attaché au mât d'un navire
Les tympans percés par la douce mélodie
En aveuglant aveugles yeux, moissonnant de verts blés
En suçant jusqu'à sang, en entendant seulement gémissements
Moissonnant espoirs, des aveugles quotidien
En ouvrant les abris
Au vent, à la tempête
Et à l'avenir incertain
Prêchant en n'étant pas n'étant pas prêtre
Quand déjà utilisé
Effondré, vieux, inerte
Au ciel demande clémence
Au Père, demande pardon
Seulement alors trouve le diable
Pour se souvenir de son nom.
Yeux bandés pour ne pas entendre le chant
Au bras d'une sirène ne pas perdre
Ni foi, ni temps et encore moins brio
Attaché au mât d'un navire
Tel le Grec de la grecque mythologie
Le navire de la vie, oublié
Sans amour jusqu'à l'été froid
Est attaché au mât d'un navire
Les tympans percés par la douce mélodie
En aveuglant aveugles yeux, moissonnant de verts blés
En suçant jusqu'à sang, en entendant seulement gémissements
Moissonnant espoirs, des aveugles quotidien
En ouvrant les abris
Au vent, à la tempête
Et à l'avenir incertain
Prêchant en n'étant pas n'étant pas prêtre
Quand déjà utilisé
Effondré, vieux, inerte
Au ciel demande clémence
Au Père, demande pardon
Seulement alors trouve le diable
Pour se souvenir de son nom.
samedi 21 mars 2009
Avoir sans être...
Avoir pour horizon
l'espoir
Avoir pour espoir
la lumière
Avoir pour lumière
tes yeux
Avoir pour tes yeux
douce tendresse
avoir pour douce tendresse
l'infini
Avoir pour l'infini
l'amour
Avoir pour amour
un songe
Avoir pour songe
la réalité
Avoir pour réalité
tes bras
Avoir pour tes bras
mes mains
Avoir pour mes mains
ta poitrine
Avoir pour ta poitrine
mon cœur
avoir pour mon cœur
ton âme
__________________
01/04/05
Carlos Tronco
l'espoir
Avoir pour espoir
la lumière
Avoir pour lumière
tes yeux
Avoir pour tes yeux
douce tendresse
avoir pour douce tendresse
l'infini
Avoir pour l'infini
l'amour
Avoir pour amour
un songe
Avoir pour songe
la réalité
Avoir pour réalité
tes bras
Avoir pour tes bras
mes mains
Avoir pour mes mains
ta poitrine
Avoir pour ta poitrine
mon cœur
avoir pour mon cœur
ton âme
__________________
01/04/05
Carlos Tronco
vendredi 20 mars 2009
Mon amour, mon amour
Comme un cri de désespoir
Une complainte, une prière
Une demande du soir
Du crépuscule
De l'amour
De la vie
Mon amour, mon amour
Toi et moi
Drôle d'amie
Des mots sots
Pour les non initiés
Des mots sacrés
Pour ceux qui croient
A la liberté
De l'amour
De la vie
Chaque soir
Très loin du compte
Se disent bonsoir
Mon amour, mon amour
Drôle de vie
Une complainte, une prière
Une demande du soir
Du crépuscule
De l'amour
De la vie
Mon amour, mon amour
Toi et moi
Drôle d'amie
Des mots sots
Pour les non initiés
Des mots sacrés
Pour ceux qui croient
A la liberté
De l'amour
De la vie
Chaque soir
Très loin du compte
Se disent bonsoir
Mon amour, mon amour
Drôle de vie
jeudi 19 mars 2009
Calvados
Carlos Tronco, « O que é a Vida, Afinal ? »
Traduction de la part de Isabelle et Philippe que je remercie.
Assis ici absent de ma mémoire
Perdu en toi, rêvant à quelque victoire
Sur moi, espérant avoir quelque avenir
Découvrant dans l’obscurité des jours, quelque chose comme un trou
Un chemin entre les pierres, une voie entre les rochers
Quelque chose de sensible, de doux, qui fasse oublier les peurs
Les peurs de nous-mêmes, le manque de confiance
Dire vouloir partager avec toi un souvenir
Chemins de bord de mer de tristesse de solitude
Quelque part en Normandie, une part de mon cœur
De la part de Carlos Tronco, poète portugais vivant actuellement en France.
De la part aussi du Collectif Bienvenue en Normandie pour toutes les amoureuses et les amoureux en Normandie ...
Pour les amoureux de la Normandie et aussi pour nous tous Normands qui avons à nous vaincre nous-mêmes pour être ici enfin libres.
Traduction de la part de Isabelle et Philippe que je remercie.
Assis ici absent de ma mémoire
Perdu en toi, rêvant à quelque victoire
Sur moi, espérant avoir quelque avenir
Découvrant dans l’obscurité des jours, quelque chose comme un trou
Un chemin entre les pierres, une voie entre les rochers
Quelque chose de sensible, de doux, qui fasse oublier les peurs
Les peurs de nous-mêmes, le manque de confiance
Dire vouloir partager avec toi un souvenir
Chemins de bord de mer de tristesse de solitude
Quelque part en Normandie, une part de mon cœur
De la part de Carlos Tronco, poète portugais vivant actuellement en France.
De la part aussi du Collectif Bienvenue en Normandie pour toutes les amoureuses et les amoureux en Normandie ...
Pour les amoureux de la Normandie et aussi pour nous tous Normands qui avons à nous vaincre nous-mêmes pour être ici enfin libres.
mercredi 18 mars 2009
Bonheur fait de petits riens.
Pour voler, il faut des ailes
Pour des ailes il faut rêver
En volant je veux chanter
La chanson des ailes frêles
De la maison a l'école
Avec mes ailes de fée
Jolie comme une poupée
Flamme de lampe à pétrole
Qu'illumine le chemin
Quand un va e l'autre vient
ça crée des embouteillages
ça fait bouger les feuillages
Et nous laisse rire du rien
être heureux sans pas beaucoup
C'est le bonheur et c'est tout
L'oiseau vole même très bien
Mots volés a Maïté Fernandes-Tronco
Chr-Caen
28/08/04
Pour des ailes il faut rêver
En volant je veux chanter
La chanson des ailes frêles
De la maison a l'école
Avec mes ailes de fée
Jolie comme une poupée
Flamme de lampe à pétrole
Qu'illumine le chemin
Quand un va e l'autre vient
ça crée des embouteillages
ça fait bouger les feuillages
Et nous laisse rire du rien
être heureux sans pas beaucoup
C'est le bonheur et c'est tout
L'oiseau vole même très bien
Mots volés a Maïté Fernandes-Tronco
Chr-Caen
28/08/04
mardi 17 mars 2009
Bienheureux les pauvres d’esprit…
Il est des temps où le temps s’arrête
Où il s’arrête et pour reculer…
Il est des jours où, il n’est point fête
Et tous les hommes semblent oublier.
Histoire, comment justifies-tu ton existence ?
Si le temps-las-il n’avance plus !
Si des dictateurs, oublions la danse
Et les commandements, du pauvre Jésus.
Sautillant sans cesse, tente d’attraper
Une lune ronde, posséder le ciel
Nous volant la lune, empêche le rêver.
Ne plus nous aimer, inventons la crise
Les pauvres au bûcher, aux riches le miel
Temps d’inquisition. Et vive l’Eglise…
Il est des crimes contre l'humanité que l'on ne dénonce pas.
La condanation de l'usage du préservatif par l'Eglise en est un!!!
Carlos Tronco
Vêndome
17/03/09
Où il s’arrête et pour reculer…
Il est des jours où, il n’est point fête
Et tous les hommes semblent oublier.
Histoire, comment justifies-tu ton existence ?
Si le temps-las-il n’avance plus !
Si des dictateurs, oublions la danse
Et les commandements, du pauvre Jésus.
Sautillant sans cesse, tente d’attraper
Une lune ronde, posséder le ciel
Nous volant la lune, empêche le rêver.
Ne plus nous aimer, inventons la crise
Les pauvres au bûcher, aux riches le miel
Temps d’inquisition. Et vive l’Eglise…
Il est des crimes contre l'humanité que l'on ne dénonce pas.
La condanation de l'usage du préservatif par l'Eglise en est un!!!
Carlos Tronco
Vêndome
17/03/09
dimanche 15 mars 2009
La lumière des simples
je ne savais comment dire, c'est pourquoi me taisant
deposais sur ta nuque, tendrement, un baiser
ne pretandant même pas, être un jour votre amant
je revais seulent, de pouvoir vous aimer
est-il possible, cependant, aimer en silence
comme on aime lune ou bien les étoiles
à la voie lactée dire toute la souffrance
d' aimer et beaucoup; de simples lucioles
ces choses fragilles e virevoltantes
si j'osais; que je suis timide! Aimerais t'offrir
ces douces lumières, dans la nuit dançantes
te dire à l'oreille, vois-tu ma mie
je t'ai apporté c'est une comète
que j'ai capturée pour toi ma chérie
deposais sur ta nuque, tendrement, un baiser
ne pretandant même pas, être un jour votre amant
je revais seulent, de pouvoir vous aimer
est-il possible, cependant, aimer en silence
comme on aime lune ou bien les étoiles
à la voie lactée dire toute la souffrance
d' aimer et beaucoup; de simples lucioles
ces choses fragilles e virevoltantes
si j'osais; que je suis timide! Aimerais t'offrir
ces douces lumières, dans la nuit dançantes
te dire à l'oreille, vois-tu ma mie
je t'ai apporté c'est une comète
que j'ai capturée pour toi ma chérie
samedi 14 mars 2009
La mendiante
Je n'avais à t'offrir, mendiante de rêves
Guère plus que mes songes, doublés de mon sourire
Et pour éclairer le noir de tes denses ténèbres
Je t'ai offert mes yeux, mon regard, mon soupir
J'ai dessiné pour toi, une fleur, un oiseau
Puis je les ai coloriés, en leur donnant la vie
Et c'est ainsi vêtus, dans le ciel le plus beau
Qu’ils portèrent l'espérance jusqu'a à toi mon amie
Carlos Tronco
Mondeville
le 1/02/09
Guère plus que mes songes, doublés de mon sourire
Et pour éclairer le noir de tes denses ténèbres
Je t'ai offert mes yeux, mon regard, mon soupir
J'ai dessiné pour toi, une fleur, un oiseau
Puis je les ai coloriés, en leur donnant la vie
Et c'est ainsi vêtus, dans le ciel le plus beau
Qu’ils portèrent l'espérance jusqu'a à toi mon amie
Carlos Tronco
Mondeville
le 1/02/09
vendredi 13 mars 2009
Les mains, mes mains
Mes mains captivaient ton regard
Je ne sais si, séduite par les signes du temps
si par éphéméritée de l’instant
je sais seulement que tu hésitais
Peut être voyais-tu là, la main tendue
La main qui blesse. La main qui châtie…
Celle qui caresse, rassure, empêche.
Je ne savais point et pour ne pas gâcher ton espoir
à partir de maintenant,
Je porterai des gants noirs.
Carlos Tronco
Mondeville
13/03/09
Je ne sais si, séduite par les signes du temps
si par éphéméritée de l’instant
je sais seulement que tu hésitais
Peut être voyais-tu là, la main tendue
La main qui blesse. La main qui châtie…
Celle qui caresse, rassure, empêche.
Je ne savais point et pour ne pas gâcher ton espoir
à partir de maintenant,
Je porterai des gants noirs.
Carlos Tronco
Mondeville
13/03/09
jeudi 12 mars 2009
Renouveau
Il était presque las, elle avait désisté
Leurs chemins se croisèrent et guidèrent leurs pas
Ce ne fut pas Byzance, encore moins paradis
Ils allèrent joyeux, sans de tristes pensées
Le ciel découvert et n'ayant ce tracas
Découvrirent le monde, par le haut et le bas
-Allons voire la nature !...et son vert tapis
Il joua les gros chats et elle fut sa souris
Sous un chêne échangèrent leur premier baiser
Et retrouvèrent le goût, de à nouveau aimer.
Carlos Tronco
Mondeville
29/01/09
Leurs chemins se croisèrent et guidèrent leurs pas
Ce ne fut pas Byzance, encore moins paradis
Ils allèrent joyeux, sans de tristes pensées
Le ciel découvert et n'ayant ce tracas
Découvrirent le monde, par le haut et le bas
-Allons voire la nature !...et son vert tapis
Il joua les gros chats et elle fut sa souris
Sous un chêne échangèrent leur premier baiser
Et retrouvèrent le goût, de à nouveau aimer.
Carlos Tronco
Mondeville
29/01/09
mardi 10 mars 2009
Je ne me reconnais
Qu’il est étrange de lire, des vers que j’ai écrits
Autrefois quand bien seul, je prétendais aimer
Les mots me paraissent tout droit sortis
De la mémoire d’un fou ou de son oreiller
Le simplet porte sur la tête, bien étrange coiffure
Du ridicule de son air, vient sa réputation
Et j’ai peur que pour les générations futures
A mes vers le peuple, vienne à dire non
Las, quelle importance, le peuple peut t’il penser ?
Distinguer la lumière des astres, des lucioles
Et à mon âme paix enfin accorder ?
J’écrirai cependant, un dieu m’écoutera
Et si parfois je dis, bien trop de sottises
Prendrai bien soin, de le dire tout bas
Carlos Tronco
Mondeville
07/12/08
Autrefois quand bien seul, je prétendais aimer
Les mots me paraissent tout droit sortis
De la mémoire d’un fou ou de son oreiller
Le simplet porte sur la tête, bien étrange coiffure
Du ridicule de son air, vient sa réputation
Et j’ai peur que pour les générations futures
A mes vers le peuple, vienne à dire non
Las, quelle importance, le peuple peut t’il penser ?
Distinguer la lumière des astres, des lucioles
Et à mon âme paix enfin accorder ?
J’écrirai cependant, un dieu m’écoutera
Et si parfois je dis, bien trop de sottises
Prendrai bien soin, de le dire tout bas
Carlos Tronco
Mondeville
07/12/08
lundi 9 mars 2009
Entre songes et devoir
Travailler parce qu' au lieu d'ailles, nous avons seulement des mains
Travailler jusqu'au soir et encore tous les lendemains
Travailler et avec le temps qui s'écoule, oublier
Que si on avait des ailles, on pourrait aussi voler
Voler, mais pourquoi diriez-vous, en lisant
Ces pauvres mots d'un fou, d'un compagnon passant
Voler pour vous ma belle, pouvoir embrasser
Et faire de tendres songes, le plus doux des baisers
Travailler jusqu'au soir et encore tous les lendemains
Travailler et avec le temps qui s'écoule, oublier
Que si on avait des ailles, on pourrait aussi voler
Voler, mais pourquoi diriez-vous, en lisant
Ces pauvres mots d'un fou, d'un compagnon passant
Voler pour vous ma belle, pouvoir embrasser
Et faire de tendres songes, le plus doux des baisers
dimanche 8 mars 2009
Jeune fille
Je te propose quelques cerises
pour sucrer ta lèvre et teindre ton esprit
et si le rouge pourpre de tes bises
n'est pas destiné à mes lèvres, amie
les cerises qui vont par deux
par la queue prises
pourront décorer tes ouies
et rendre plus profond encore
le doux regard de tes yeux
carlos tronco
17/07/08
pour sucrer ta lèvre et teindre ton esprit
et si le rouge pourpre de tes bises
n'est pas destiné à mes lèvres, amie
les cerises qui vont par deux
par la queue prises
pourront décorer tes ouies
et rendre plus profond encore
le doux regard de tes yeux
carlos tronco
17/07/08
mercredi 4 mars 2009
Les flammes soudent...les âmes
le feu brûlait de mille flammes et tes jolies lèvres aussi
le baiser fut intense et alors je t'aimais
près de lui reposa ton corps demi-nu
et louvoyant, tendrement, tes fesses jolies
le moment était beau et la pose m'a plu
les verres se rapprochèrent, et les pensées aussi
je lisais dans tes yeux vient près de moi chéri
et pendant ce temps là je baisais ton beau pied
la nuit s'avança, la bûche consommée
du bois ne restaient que les ardents charbons
pendant que pénétrée tu disais que c'est bon
et ce fût ainsi notre première nuit
bien plus belle que tout ce que je pourrais rêver
au matin me levais la mine réjouie...
le baiser fut intense et alors je t'aimais
près de lui reposa ton corps demi-nu
et louvoyant, tendrement, tes fesses jolies
le moment était beau et la pose m'a plu
les verres se rapprochèrent, et les pensées aussi
je lisais dans tes yeux vient près de moi chéri
et pendant ce temps là je baisais ton beau pied
la nuit s'avança, la bûche consommée
du bois ne restaient que les ardents charbons
pendant que pénétrée tu disais que c'est bon
et ce fût ainsi notre première nuit
bien plus belle que tout ce que je pourrais rêver
au matin me levais la mine réjouie...
mardi 3 mars 2009
Que puis-je?
Que puis-je dire de moi que tu ne puisses imaginer?
Je suis la matière que synthétise tes rêves
Songeant être le mystère qui te permettra d'aimer.
Je suis la matière que synthétise tes rêves
Songeant être le mystère qui te permettra d'aimer.
lundi 2 mars 2009
Le compagnon passant
La nuit avait depuis fort longtemps oublié l'aurore
et les astres perdus dans le ciel peinaient à briller
seule toi perle nacrée encore demeure
au firmament pour montrer la route à la voie lactée
seule toi fille de la mer et la montagne
t'accroches à ton destin, détiens le charme
et du haut de ton interminable mat de cocagne
défies le temps, défies Dieu e même diable
tu es le drapeau , la flamme du phare mythique
la sirène, la perdition de tout marin
la déesse Venus du monde antique
et moi pas plus qu'un passant
que viens jeter mes vers a tes pieds
et de mes lèvres tendrement baiser ta main
carlos tronco
30/06/08
et les astres perdus dans le ciel peinaient à briller
seule toi perle nacrée encore demeure
au firmament pour montrer la route à la voie lactée
seule toi fille de la mer et la montagne
t'accroches à ton destin, détiens le charme
et du haut de ton interminable mat de cocagne
défies le temps, défies Dieu e même diable
tu es le drapeau , la flamme du phare mythique
la sirène, la perdition de tout marin
la déesse Venus du monde antique
et moi pas plus qu'un passant
que viens jeter mes vers a tes pieds
et de mes lèvres tendrement baiser ta main
carlos tronco
30/06/08
dimanche 1 mars 2009
Aller au sud
Que pourrais-je partager d'autre que quelques lettres?
L’âge avance e le désespoir s'installe par traîtrise
mourir oublié et seul, terrible hantise
ou alors au lit tel une plante verte
J'irais avec vous, prendre le train
prenant de la vitesse, échapper
au temps qui file, m'évader
j'irai allègre avec entrain
Et puis regarder par la fenêtre
voir une fois encore défiler
cella est la vie, peut-être
Enfin m'endormir en rêvant
posée sur votre cœur, sur votre sein
lui-même endormi en me lisant
L’âge avance e le désespoir s'installe par traîtrise
mourir oublié et seul, terrible hantise
ou alors au lit tel une plante verte
J'irais avec vous, prendre le train
prenant de la vitesse, échapper
au temps qui file, m'évader
j'irai allègre avec entrain
Et puis regarder par la fenêtre
voir une fois encore défiler
cella est la vie, peut-être
Enfin m'endormir en rêvant
posée sur votre cœur, sur votre sein
lui-même endormi en me lisant
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