Mes mains captivaient ton regard
Je ne sais si, séduite par les signes du temps
si par éphéméritée de l’instant
je sais seulement que tu hésitais
Peut être voyais-tu là, la main tendue
La main qui blesse. La main qui châtie…
Celle qui caresse, rassure, empêche.
Je ne savais point et pour ne pas gâcher ton espoir
à partir de maintenant,
Je porterai des gants noirs.
Carlos Tronco
Mondeville
13/03/09
vendredi 13 mars 2009
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